L’article invité de la semaine dernière paru sur le site La Vie Positive de mon ami Jean mettait en parallèle le modèle Transurfing et la loi d’attraction.
J’étais très loin d’imaginer son impact et l’intérêt qu’il a déclenché.
Au moment où j’écris ces lignes, ce ne sont pas moins de 68 commentaires qui ont été échangés !
Afin de répondre à des demandes dans les commentaires, j’ai imaginé un visuel dans le but de faciliter la compréhension de ce que j’ai développé dans cet article.
Au cas où vous ne l’auriez pas lu, et afin de vous en inspirer, je vous invite à cliquer sur ce lien Transurfing Vs Loi d’attraction.
Tout part d’une prise de conscience
Dimanche 1er septembre, il est 23 heures.
Je viens de finir d’écouter le webinar privé de David Laroche dans le cadre de sa formation « 21 jours pour libérer Votre Potentiel » et je passe un moment à partager mon enthousiasme avec les autres membres du groupe Facebook.
En même temps, je sens la pression monter en moi parce que je n’ai pas terminé la tâche que je m’étais promis de terminer ce soir là.
Je veille donc assez tard et je commence à lutter contre le sommeil, je sens des tensions de plus importantes dans mon corps, j’ai les yeux qui piquent, mon dos qui commence à me dire qu’il est plus que temps que je lui accorde mon attention et du repos.
Je respire, je me mets de plus en plus à l’écoute de mes sensations, je tiens cependant le choc et une fois la tâche terminée, je m’offre un repos bien mérité.
Revenons quelques jours en arrière :
Grâce au schéma ci-joint, j’ai pris conscience de la façon dont les potentiels en excès (concept Transurfing) s’exprimaient au niveau du corps.
En réalisant que les potentiels en excès étaient directement liés à la différence de potentiel énergétique entre mon mental (mes pensées) et mes tripes (mon corps), j’ai pris conscience que si je voulais créer ma réalité, cela passait par diminuer au maximum cette différence de potentiel.
En effet, je crée ma réalité à partir de mes pensées si :
- Selon le modèle Transurfing, mon esprit (le mental) est aligné avec mon âme.
Mon indicateur est le ressenti corporel (le langage de l’âme), je ressens de la joie et de la gratitude
- Selon la loi d’attraction, j’ai un désir ardent lorsque je focalise sur ce que je veux attirer à moi.
Vous me suivez ?
Alors, comment vais-je m’y prendre ?
Plutôt que d’essayer de réduire l’activité de mon mental, ce qui me semble assez compliqué compte-tenu que je passe une grande partie de ma journée à réfléchir, à créer et à intégrer des formations, j’ai donc choisi de me polariser sur l’aspect corporel :
- En vivant à fond toutes mes émotions (toute émotion retenue dans son expression génère une différence de potentiel)
- En mettant mon corps en mouvement (le mouvement crée l’énergie).
Et pour ce faire, dès jeudi dernier, je me suis décidé (enfin) à aller faire un jogging matinal pour libérer et activer mon potentiel énergétique par le mouvement.
Bien entendu, dès ma première sortie, j’ai ressenti des douleurs dans mes mollets et je soufflais comme un bœuf !!!
Mais cette fois-ci, j’avais du sens.
Je n’ai pas lâché l’affaire et je me suis concentré, non pas sur la douleur, mais sur les progrès que j’allais faire du jour au lendemain et chaque jour suivant.
Lundi matin, le lendemain de cette fameuse soirée, je pars donc pour mon jogging matinal.
Et là, je souffre, plus que la veille et les jours précédents.
Conscient du niveau de cette souffrance, je me dis que mon corps est déjà au bout de 5 jours prêt à atteindre un 1er palier de libération de potentiel énergétique bloqué depuis des années en moi.
Je poursuis donc mes efforts pour faciliter cette libération et surprise, j’ai la sensation de revivre exactement les mêmes sensations, les mêmes douleurs physiques, que la veille au soir !
Et je me pose la question suivante :
Comment se fait-il que lorsque je suis immobile et dans un état de fatigue avancé ou bien en mouvement en exerçant un effort physique, les sensations corporelles soient les mêmes ?
Une nouvelle prise de conscience
Je reste avec cette question en tête toute la journée du lundi.
Cela tombe bien, le cerveau est conçu pour répondre aux questions !
Mardi matin, je pars faire mon jogging, et là, bonne surprise, j’ai l’impression de me sentir beaucoup plus léger, je sens mon corps beaucoup plus détendu et je fais mon retour en courant, alors que les jours précédents, je l’avais fait en marchant.
La libération de potentiel énergétique au niveau corporel a bien eu lieu !
Je me surprends même à monter en sprintant les marches de 4 étages pour rejoindre mon appartement.
Et là, je fais un nouveau lien.
David Laroche dit dans sa formation que la Vie est là pour nous challenger (nous faire vivre des situations confrontantes) afin de nous aider (par la contrainte s’il le faut) à aller développer en nous le muscle de la confiance en soi dans le but d’élever notre pouvoir personnel.
Et là, ça se présente en moi comme une évidence : mon pouvoir personnel est directement lié à mon potentiel énergétique, à condition que les différences de potentiel soient nulles (schéma du milieu sur le précédent dessin).
Et ce n’est pas tout !
Plus mon pouvoir personnel est élevé :
- Plus je vais être connecté à ma puissance intérieure
- Plus je vais prendre 100% de responsabilité pour tout ce que je vis d’agréable ou de désagréable
- Moins je vais être sous l’influence négative de mon environnement en me laissant pomper mon énergie ou en m’enfermant dans un rôle de victime ou, selon le modèle Transurfing, dans un rôle d’offensé, de guerrier ou de demandeur.
Un film inspirant : Oui, mais
Comment nous libérer de ces rôles ?
Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises du film « Oui, mais« .
Dans ce film, il y a une scène dans laquelle Erwann explique à Églantine 8 concepts clés liés au développement personnel.
Écoutez bien cette scène très courte, regardez-là plusieurs fois , et amusez-vous à retrouver ces 8 concepts.
En les intégrant au plus profond de vous-même, votre vie va s’en trouver transformée, je vous le garantis.
Cliquez au centre de la vidéo ou sur le lien dessous la vidéo :
Oui, mais : 8 concepts clés du développement personnel
Ces 8 concepts clés, je vous invite par jeu à les noter en commentaire à la fin ce cet article !
Allez-vous vous challenger et relever le défi ?
Juste pour le fun, le papillon qui sort de sa chrysalide, c’est un changement de monde, non ?
N’y-a-t-il pas un parallèle à faire ?
L’être humain, quel chemin prend-il pour venir au monde ?
Comme le papillon qui doit fournir un effort pour raffermir ses ailes, le bébé doit subir une très forte contrainte avant de venir au monde.
Cette contrainte, c’est le cadeau de la nature pour l’aider à bien démarrer dans ce nouveau monde étranger pour lui !
Le mardi noir : Vive la souffrance !
Avant hier, c’était mardi.
En revenant du parc ou je fais mon jogging tous les matins depuis une semaine, je repense à cette journée du mardi.
Cette journée, j’avais fini par la maudire, par la craindre plus que tout.
Quasiment, systématiquement, depuis des années, c’est ce jour là, qu’il m’arrivait le plus de « tuiles ».
Et quand je me réveillais le matin, j’entamais ma journée avec cette question dans la tête :
Qu’est ce qui va encore m’arriver aujourd’hui ?
Je peux vous assurer que cette journée là, pour m’attirer de la souffrance, j’étais un Roi de la loi d’attraction.
Ma croyance était tellement élevée, j’avais l’estomac en miettes, les conditions idéales étaient réunies pour m’attirer ce que je ne voulais pas !
Et là, avant hier, je repense à cet exercice du jour 7 de la formation que David nous a fait faire.
Cette vidéo du Jour 7 est liée à l’estimation, cette estime de nous-même et s’appuie sur le concept suivant :
Tout ce qui nous est arrivé dans notre vie, souffrance ou bonheur, est arrivé dans un seul but :
Nous donner l’opportunité AUJOURD’HUI de créer de la magie.
Et il nous demande de trouver tous les avantages liés à une souffrance, une blessure, une violence de notre passé.
Il nous cite en exemple Jean-Baptiste Hibon qui a un handicap très lourd, il se déplace et parle avec difficulté alors qu’il a un esprit très affuté.
David, lors de son interview de Jean-Baptiste a été très surpris d’entendre Jean-Baptiste lui dire :
« Entre ta timidité et mon handicap, personne ne peut dire qui a souffert le plus, ce n’est pas comparable parce que cela se passe au niveau émotionnel«
Jean-Baptiste a trouvé plein d’avantages à son handicap.
Il a crée de la magie avec, tout comme David qui, à force de travail acharné pendant 4 ans a transformé son handicap en magie !
A 24 ans, David est le plus jeune formateur de développement personnel et il a l’ambition, tenez-vous bien, de remplir une salle de 3000 personnes à Aix en Provence en mars 2014.
Alors, est-ce que Jean-Baptiste et David ont accepté et en plus aiment, adorent et même sont remplis de gratitude en pensant à leur handicap ?
Oui, bien sûr !
Leur handicap leur permet aujourd’hui d’être une source d’inspiration pour des milliers de personnes.
Je repense donc à cette fameuse vidéo consacrée à l’estimation et là, il se passe quelque chose de bizarre dans mon esprit !
Je me mets à ressentir de la joie et de la gratitude en pensant à cette journée du mardi.
Je ne me positionne plus comme une victime, un offensé des évènements ou de la vie.
Je me dis au contraire :
« Yes ! Whaou ! Qu’est ce que la Vie va m’offrir comme challenge aujourd’hui pour muscler mon muscle de la confiance en moi et faire grandir mon niveau de potentiel, de puissance intérieure ? »
Par un simple changement de point de Vue, le mardi est devenu pour moi le meilleur jour de la semaine !
Vive la Vie !
La souffrance a-t-elle un sens ?
Suite à ce nouvel éclairage, je donne aujourd’hui un sens très riche à la souffrance.
Sans vouloir la rechercher, celle-ci ne me fait plus peur.
Je me sens simplement prêt aujourd’hui à vivre le processus de transformation, en m’attendant au meilleur !
La question du jour
J’aimerai maintenant que vous vous exprimiez en répondant à cette 2 questions dans la zone commentaire ci-dessous :
- Quels sont les 8 concepts clés que vous avez identifiés dans l’extrait du film « Oui,mais » ?
- Comment vivez-vous votre relation avec la souffrance ?
J’aurai grand plaisir à répondre personnellement à votre commentaire :-)
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La lecture de cet Ebook va vous apporter énormément de valeur notamment sur les points suivants :
- Comment voir une opportunité dans chaque problème
- La découverte du 3ème mot dans l’expression « Voir + Croire + …. = Pouvoir »
- L’identification des croyances qui vous enferment
- 4 exemples d’histoire : Victime ou Responsable
- Le modèle utilisé par ceux qui transforment leurs problèmes en opportunités.
31 Commentaires
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Les 8 concepts clés pour moi sont :
– Reprendre la responsabilité de ses actes
– Redonner à l’autre le volant de sa vie
– Nous sommes l’acteur de notre vie
– Ne pas vouloir changer les autres mais se changer soi
– S’occuper de soi avant de s’occuper des autres n’est pas être égoïste bien au contraire
– Ne pas entrer dans le jeu de victime d’une autre personne
– Ne pas entrer dans le jeu de sauveteur
– Laisser les autres se changer à leur rythme
Comment je vis ma relation avec la souffrance ?
Ma motivation pour faire du sport depuis la rentrée est que je manque de vitalité à mon goût. Je ne me sens pas encore la force de parcourir des randonnées de 12km dans un groupe (ce qui est mon objectif). Aussi, j’ai choisi de faire tranquillement de la zumba chez moi et à mon rythme. Dès que j’ai mal à mon bras (dont il a été retiré 12 ganglions), j’arrête de le torturer. Lorsque je commence à être trop essoufflée, j’arrête tout et je reprends le lendemain en m’apercevant que je vais encore un peu plus loin sans souffrir ! J’aime la douceur et il n’est pas question de me faire souffrir.
Pour ce qui est de la souffrance due comme l’année dernière à la chimio : j’ai accepté mon état « tu ne peux plus rien faire, ce n’est pas en pensant à ce que tu pourrai faire si cet état n’existait pas que cela changera quelque chose ». Ensuite, quel est mon but ? Aller dans ma cuisine pour préparer des bons petits plats à ma famille comme j’aime le faire … C’est sur cette phrase que je travaillais et cela me remettait sur pieds en quelques jours.
Une autre expérience que j’aime diffuser à qui veut bien l’entendre pour que cela serve à ceux qui en ont besoin : lorsque je n’avais plus de goût dans la bouche, j’acceptais et ensuite je me servais de ma mémoire pour retrouver le goût de chaque chose. J’ai même poussé l’expérience à goûter du vin ! Je suis partie du principe que le goût s’apprend et s’entretien. Il me fallait donc le réapprendre. Il m’a fallu à chaque chimio 10 jours pour retrouver le goût des aliments alors que j’ai entendu souvent dire « pendant tout le traitement je n’avais plus de goût ».
Je m’aperçois que j’ai écrit plusieurs fois le mot « expérience ». Effectivement, avec le recul j’ai pris ma souffrance pour une expérience et même j’en ai fait un jeu de retrouver le goût !
Auteur
Bonjour Iona,
J’ai beaucoup pensé à toi et à nos différents partages en écrivant cet article.
Imagine ma joie en lisant ton commentaire.
Mon corps est encore en train de vibrer suite à sa lecture, ce qui est mon propre indicateur de l’authenticité qui s’exprime.
Merci donc de ce magnifique cadeau.
Merci à toi d’avoir pris le temps de citer les 8 concepts clés de l’extrait du film « Oui, mais ».
J’en ai identifié 4 par rapport à ma propre liste !
Merci Iona de me fournir une vision encore plus grande de l’impact que peut avoir ces 2mn 12 s !
Permets-moi maintenant de te partager ce qui m’inspire dans ton partage :
« Je manque de vitalité à mon goût »
Que te répond ton âme quand tu lui poses la question ?
Ton but est de parcourir des randonnées de 12 km dans un groupe.
Superbe but !
J’aime le 1er petit pas que tu as mis en place pour aller VERS ton but !
Bravo !
Bravo également pour ta décision de t’offrir de la douceur :-)
Je ressens beaucoup de gratitude sur ton partage concernant ta manière de penser et de faire suite à la souffrance due à la chimio.
J’imagine que ton témoignage va aider beaucoup de personnes.
Ce n’est pas du théorique, c’est tiré de ta propre expérience de vie, c’est du vécu et cela a, à mon sens, encore plus de puissance pour moi, en tant que lecteur.
Concernant le goût, Whaou, quel partage ! :-)
« Je suis partie du principe que le goût s’apprend et s’entretient. Il me fallait donc le réapprendre. »
C’est une véritable clé que tu nous donnes là, et j’espère qu’elle contribuera à aider beaucoup de gens.
Tout s’apprend et s’entretient.
C’est le principe même de l’apprentissage !
Le cerveau est une machine à apprendre !
Donc, tout est possible pour quelqu’un qui veut s’en donner les moyens.
Permets-moi de remettre le lien de la vidéo sur les super-pouvoirs du cerveau que tu nous a partagée dans l’article de la semaine dernière :
http://youtu.be/PArTw1dyW0Y
Ce qui fait le plus en plus sens pour moi, c’est que la vie soit une suite d’expériences.
Jusqu’à peu, je le comprenais de manière intellectuelle.
Maintenant, je commence à le vivre avec mes tripes.
Cela fait une grande différence.
Et j’en arrive à ma dernière question :
En quoi la souffrance que tu as endurée peut se transformer pour toi en opportunité de croissance pour toi et pour les autres ?
Je t’embrasse.
Vis un merveilleux WE.
Maxime
Bonjour Maxime,
Merci de ton partage, j’ai lu cette page avec beaucoup d’intérêt en me disant que nous avions tous notre façon de nous exprimer , et la tienne ne m’est pas familière ! Donc je découvre. Je suis une intuitive et en même temps une cérébrale , inutile de te dire qu’il y a eu bien des combats et des souffrances pour accorder ces 2 là en moi ! Je pratique avec beaucoup de facilité le lâcher-prise( fruit d’un entrainement intensif), et chaque souffrance qui se présente est accueillie , elle a un message pour moi, cette souffrance arrive quand j’ai surestimé ou nié les difficultés qui se présentent à moi , elle est finalement une protection aussi paradoxale que cela puisse être, et m’oblige à me poser et à m’écouter . Concernant la vidéo , je te citerais ceci: ‘change ce qui est en toi , et tu verras le monde changer autour de toi’,
Bonne journée
Auteur
Bonjour Marie-Odile,
Bienvenue pour ton 1er commentaire :-)
Voici ce qu’il m’inspire comme réponse.
Tout d’abord une question par rapport à ma manière de m’exprimer.
Qu’as-tu ressenti ou qu’est-ce que tu t’es dit sur cette manière de m’exprimer ?
Ensuite, intuitive et cérébrale, voilà un beau couple à marier non ?
J’ai eu un flash hier soir avec une amie concernant ce couple.
Je lui expliquais le schéma des niveaux de potentiel d’énergie entre le mental et les tripes (le corps).
Et j’ai dit que les tripes, le corps, c’était l’expression de la vie.
Que lorsque le niveau d’énergie du mental était supérieur à celui du corps, nous étions en mode SUR-VIE (au dessus de la vie).
Dans ce cas, le mental veut être le maître à la place du maître.
Et en même temps, sa fonction est de nous protéger, de nous maintenir en Vie, d’où le mode de survie.
Et que lorsque le niveau d’énergie du mental était en dessous de celui de la Vie, il devenait le serviteur de la vie, il se mettait au service de l’âme.
Et là, mon amie a dit, il est a-SOUS-Vie !
Cela s’est conclu comme une évidence :
« L’ego, le mental, c’est la survie, et l’âme, c’est la vie. Et quand l’ego se met au service de la vie, il est assouvi »
Cela rejoint tout à fait pour moi l’aspect protecteur lié à la souffrance dont tu parles.
Je te remercie pour ce partage, je le trouve très chouette.
Tu dis que tu pratiques avec beaucoup de facilité le lâcher-prise et que c’est le fruit d’un entrainement intensif.
Acceptes-tu de nous partager l’expérience de ta pratique ?
Cela vaut, à mon sens, toutes les théories du monde !
Enfin, excellente synthèse de cette extrait de « Oui, mais » !
Merci à toi, Marie-Odile.
Vis un merveilleux WE.
Maxime
Bonsoir Maxime,
Tu me demande « En quoi la souffrance que tu as endurée peut se transformer pour toi en opportunité de croissance pour toi et pour les autres ? »
Tu as donné la réponse :
« Je ressens beaucoup de gratitude sur ton partage concernant ta manière de penser et de faire suite à la souffrance due à la chimio.
J’imagine que ton témoignage va aider beaucoup de personnes.
Ce n’est pas du théorique, c’est tiré de ta propre expérience de vie, c’est du vécu et cela a, à mon sens, encore plus de puissance pour moi, en tant que lecteur. »
Je suis entrain de construire mon site internet comme je te l’avais dit http://www.lesouffledubonheur.com pour le 15 octobre et la plupart de mes articles seront là, à travers mes témoignages, pour aider les gens à être acteurs de leur vie.
Pour ce qui est de ma vitalité mon âme me dit d’y aller avec douceur… Ce n’est pour l’instant pas encore gagné car il y a des jours où je finis la journée, complètement épuisée. J’aime aller au bout des choses. Alors quand je fais par exemple, du jardinage si je n’ai pas fini une tâche j’ai du mal à l’abandonner. Tiens ! cela me rappelle un exercice transurfing sur le courage qu’il faut que je revois !
Merveilleux week-end à toi aussi.
Iona
Auteur
Bonjour Iona,
Merci d’avoir pris le temps de répondre à ma question.
Je suis impatient de découvrir ton site !
Tu as du mal à abandonner une tâche que tu as commencée ?
Quel est la part de toi qui te dit que tu l’abandonnes ?
Si tu te places en mode observatrice, tu vas voir qu’il y a une alternative qui te permet d’aller au bout des choses sans passer par la phase épuisement.
Quelle pourrait-elle être ?
Dernière question : A quel exercice sur le courage penses-tu ?
Vis un merveilleux WE.
Maxime
La part de moi qui dit que j’abandonne ???
Je pense que c’est le mental et encore le mental. « si je ne le finis pas tout de suite quand vais-je terminer ? Et bla bla bla …
L’alternative ? c’est de demander à mon âme de faire en sorte que ce travail soit fini par quelque moyen que ce soit. (pour l’instant ce n’est pas encore automatique mais cela vient !)
L’exercice auquel je pense est le cadran d’Offmann.
Merveilleuse fin de journée à tous.
Iona
Auteur
Bonjour Iona,
Merci d’avoir pris le temps pour répondre à ta question.
Ha, ce mental !
J’aime bien ta proposition.
Et faire l’exercice du cadran d’Ofman est une excellente idée.
Fais-moi part du résultat, ça m’intéresse ;-)
Vis une merveilleuse soirée.
Maxime
Bonsoir Maxime
Nous venons de terminer un séjour résidentiel et expérimenté à nouveau comment la meilleure antidote à la souffrance est l’Amour! C’est encore baigné de cette énergie que je lis ton texte. Alors oui, d’accord, c’est un moyen pour évoluer. C’est déjà arriver à un grand niveau de conscience que de la voir comme ça, ça nous rend responsable, plutôt que victime ou offensé, et nous donne la possibilité de la transcender, d’en faire comme tu le dis un tremplin. En même temps, je n’ai pas du tout envie de réinstaller cette croyance que ma mère exprimait si bien « il faut souffrir pour être beau! » !
Lisez mon dernier article -> Sortir du triangle infernal des jugements,comparaisons et attentes.
Auteur
Hello Philippe,
Je suis très heureux pour toi, pour Sylvie et pour les participants de ce séjour résidentiel d’avoir fait cette expérimentation.
Cela rejoint tout à fait cette prise de conscience d’hier soir.
Quand le potentiel d’amour (celui du corps, celui des tripes, celui de l’âme) devient plus élevé que celui du mental, la souffrance disparaît et n’a plus lieu d’être.
Ce qui m’amène à cette conclusion : la seule issue est d’élever notre niveau vibratoire d’amour en nous et encore plus quand nous sommes sous l’emprise de notre mental (mode survie).
Et si tu offrais ton amour à cette belle croyance que ta mère a exprimé ?
L’expression de cette croyance correspond au mode survie de mon schéma, non ?
Je suis sûr qu’en retour, elle va te remercier ;-)
Vis un merveilleux WE.
Maxime
Alors voilà ton fameux article ! Il y a quelques moisj’ai vécu un gros chagrin d’amour, j’ai éprouvé dans tout mon corps cette souffrance que je n’ai pas cherché à cacher, à retenir, il était important pour moi qu’elle s’exprime, qu’elle se dise, qu’elle s’évacue; j’ai juste gardé le focus sur l’importance de rester connecté à cette dimension merveilleuse d’amour qui m’avait été permis de rencontrer dans cette relation. Je souffrais de la séparation et tout en même temps je trouvais une formidable opportunité de pointer ma dépendance affective pour la travailler en profondeur, par la suite dans une nouvelle relation, j’ai éprouvé un jour juste avant de rentrer chez moi, une grande angoisse de retourner dans mon espace clos, sombre et sans perspective, j’ai éprouvé une douleur comme la sensation d’être prise dans un étau; la personne en question m’a fait découvrir la visualisation de la flamme violette, comme j’ai une facilité visuelle, en l’espace de 10mn je suis passée d’un état de souffrance important à un état de paix au moins aussi puissant qui m’a permis d’opérer une vraie bascule et de savoir que c’était possible de vivre l’imédiateté d’un état en étant connecté à ses sensations corporelles et psychiques. Quelques mois plus tard, je me suis faite accompagnée par une coach en organisation et la question de mon changement d’environnement s’est imposé; je devais mettre ma maison en vente et ça me brisait le coeur tellement je m’y étais investi ; elle m’a alors invité à trouver au moins 3 avantages à la situation, ça m’a beaucoup aider à passer un premier cap pour la mettre dans une agence ; les 3 avantages a à vendre ma maison sont : vivre indépendante de mon mari, sortir de ma léthargie et prendre véritablement ma vie en main, garder l’essentiel et me débarrasser du superflux ; j’ai à nouveau ressenti une grande souffrance suite au fait que l’hiver se prolonge, que j’ai participé à un salon du bien-être sans véritable avancée et que vu le temps les visites étaient peu nombreuse et n’aboutissaient pas, là dessus je me suis chopée une petite merdouille qui m’obligeait à une mise en quarantaine « sexuelle », mon corps m’invitait à me recentrer sur mes objectifs de vie, et de cesser de m’éparpiller ; j’ai changé de focus et ai rapidement obtenu des résultats ; j’ai fait un premier programme de 21j avec Roger Lannois qui m’a permis de me recentrer sur mes valeurs et mes priorités, puis à peine le programme terminé la proposition de David à suivre son programme à lui s’est manifesté et j’ai ressenti l’importance de suivre ce courrant d’énergie qui me correspond tout à fait dans l’aspect volontaire et responsable ; je remarque que mes états de souffrance sont devenus très courts, de quelques minutes à une heure maximum, ce fut le cas quand j’ai été remercié de mon précédant job, il m’a fallu digérer l’annonce à laquelle je ne m’attendais pas forcément et je devais remettre en question mon plan de sortie de situation de crise. J’étudie depuis de nombreuses année la question de la pensée créative et je sais que lorsqu’une porte se ferme une autre n’est jamais très loin à pouvoir s’ouvrir, donc je me suis laissé porté par ce qu’il y avait comme opportunité qui se présentait sur le moment présent , le refraîchissement de ma maison s’est imposé et très rapidement j’ai posé mes premières actions, entrepris mes petits pas, musclé mes petits bras, mon mental et réveillé une énergie qui est disponible pour se mettre au service de mes besoins, de mes désirs…Aujourd’hui j’ai eu 1/4 de seconde de souffrance, je ne me suis pas senti réellement aidée par mon entourage qui ne fait strictement rien quand je ne suis pas là pour avancer dans les travaux, puis j’ai repris ma responsabilité, il s’agit bien de mon objectif, de ma décision. Voilà, je trouve que le mot « souffrance » était très lourd à vivre il y’a quelques mois, je me débattais encore dans la chrysalide pour tenter d’en sortir, maintenant je n’ai plus besoin de vivre de telles souffrance, je ne tente plus le changement, je « suis » le changement ! chaque petit pas concrétise mon chemin d’évolution ; merci Maxime, j’ai pu au travers de ce commentaire faire mon pti bilan sur la souffrance.
Auteur
Whaou !
Quel commentaire et quel partage !
Merci infiniment Caroline pour nous partager ton expérience.
Je suis vraiment heureux que nos échanges dans le cadre du groupe privé privé Facebook de la formation de David Laroche « 21 jours pour libérer votre potentiel » puissent trouver une résonance sur mon blog avec autant de richesse dans son expression.
« maintenant je n’ai plus besoin de vivre de telles souffrances, je ne tente plus le changement, je « suis » le changement ! »
N’est-ce pas merveilleux comme conclusion et comme leçon de vie pour nos lecteurs ?
Je suis très heureux qu’à travers ce commentaire, tu aies pu faire le bilan sur ta souffrance.
En plus, je le trouve très inspirant et j’espère que tous les lecteurs qui le liront pourront s’en inspirer pour devenir responsables de leur propre vie et tout comme toi se libérer de leur souffrance, ou dans un premier temps au moins, apprendre à en prendre la responsabilité entière et totale et à la gérer sans demander à l’entourage de la prendre en charge.
Vis un merveilleux WE.
Maxime
La souffrance ne donne de valeur à rien, disent-les uns.
D’autres soutiendront le contraire.
Il y a ceux qui pensent qu’on « doit souffrir pour être belle » et ceux qui pensent l’inverse.
Bref, ce thème est tellement ancré dans les croyances de chacun qu’il est vain d’édicter une règle générale.
En revanche, une chose peut être avancée : celui qui n’a pas connu la souffrance… n’a pas tout connu de la vie.
Auteur
Bonjour Jean-Luc,
J’aime bien ta dernière phrase.
En plus, tu sais de quoi tu parles, il y a du vécu derrière.
Vis une merveilleuse soirée.
Maxime
coucou Maximaxou,
je vais reprendre la lecture de ton exposé et des commentaires mais ce qui m’est « venu » rapidement c’est le lien ave ce jour « mardi » qui est en lien avec (selon mes connaissances) tant la planète Mars que le dieu Mars, dieu de la guerre mais en positif de l’ACTION.
belle journée à toi et aux lecteurs
Fée Clochette
Auteur
Coucou Fée Clochette,
Merci de ton partage !
C’est une superbe nouvelle pour moi !
Cela signifie pour moi que je suis passé de l’inaction à l’action.
Saupoudre-moi encore de ta poussière magique, j’en redemande ;-)
Vis une merveilleuse soirée.
Maxime
Bonjour Maxime ,
Merci de ta réponse et des nombreuses questions que tu poses,
allez je commence par le début, quand j’ai lu ton texte sur la souffrance , ce qui m’a étonné c’est la profusion de détails (trop de détails ?!) tu décris les différentes étapes de ton cheminement( avec des rappels de diverses sources ou phrases ) par rapport à tes ressentis et l’évolution de ta compréhension des évènements, le tout émaillé de mots tels que ‘potentiel énergétique’, ‘transurfing’; j’ai du lire plusieurs fois ton texte pour tout comprendre; je me suis demandé pourquoi tu avais besoin de te raconter de la sorte, trop d’information tue l’information.
A mon avis ,quand un évènement est passé et compris le fait de se remettre dans son contexte avec tous les détails , c’est aussi se remettre dans l’énergie de cet évènement et risquer de voir son énergie s’abaisser.
Avec ton titre ‘le sens de la souffrance ‘ j’attendais une ligne directrice que chacun peut ensuite reproduire pour comprendre’ le sens de notre souffrance ‘ensuite.
Pour ma part , je ramène très souvent à l’essentiel , je synthétise en quelques mots , et je développe si cela a suscité un intérêt chez celui qui me fait face.
Intuitive/cérébrale , c’est pour moi savoir utiliser mon cerveau quand mon ressenti intuitif m’envoie un signal , et je lance mon cerveau sur la piste de l’information afin de donner du sens à mon intuition, c’est un merveilleux outil . Parfois , pas de résultat alors , je lâche prise et je fais confiance , je sais que la réponse arrivera au moment opportun.
Le lâcher prise , c’est permettre aux évènements , aux douleurs , aux questions ,de vivre leur continuité sans interférence et controle de ma part , je prends de la hauteur , j’émets verbalement de la gratitude pour la compréhension qui me sera donnée , je lâche et je fais confiance.
J’espère avoir répondu à tes questions , bonne semaine
Auteur
Bonjour Marie-Odile,
Je te remercie infiniment de ton feed-back car il est très enrichissant pour moi.
Ce que tu décris au niveau des détails m’interpelle en profondeur.
Je ne « sais » absolument pas si c’est la « bonne » réponse, mais voici ce qui me vient dans « l’ici maintenant » :
Si je rentre autant dans les détails, je crois que c’est pour intégrer plus en profondeur le cheminement qui m’a amené là où j’en suis.
Et en montrant mon cheminement de pensée, je me dis que cela peut-être aidant et inspirant pour les personnes qui me lisent.
Ce que j’ai écrit, je n’en étais pas conscient il y a tout juste 2 semaines, donc je ne l’ai pas encore « compris » dans le sens où tu l’entends.
J’y rajoute aussi, sans doute inconsciemment, un côté rassurant pour moi.
Donc, à creuser pour moi et voir quelles ressources je peux faire émerger pour aller encore plus vite vers l’essentiel.
Aller à l’essentiel, justement, c’est mon cheminement intérieur actuel, m’exprimer dans mon essence d’être.
Cela passe pour moi par pas mal de méandres.
Ma manière d’écrire reflète-t-elle ce chemin ? Je m’interroge !
Je tiens à t’adresser un chaleureux remerciement, j’aime beaucoup ta façon d’écrire les choses et ton commentaire est très inspirant pour moi.
J’espère que celui-ci va aider beaucoup de lectrices et lecteurs.
Vis une merveilleuse soirée.
Maxime
Bonjour Maxime,
D’abord merci pour ton article invité sur mon blog : il a déclenché 77 commentaires et de qualité !
Pour les 8 concepts clés que je vois dans le film :
– gagner est un concept relatif. La jeune femme dit « vous avez gagné ». Qu’est-ce que ça signifie ? Même quand on a soi-même des succès, on n’a pas forcément cette idée de « gagner ». Question de point de vue.
– responsabilité : chacun est responsable de ses actes et de ce qu’il lui arrive.
– Elle dit aussi qu’elle ne sait pas si c’est un problème ou une difficulté. En PNL, un des présupposés, c’est qu’il n’y a pas de problème, mais des apprentissages. Toute expérience permet d’apprendre et d’avancer.
– La visualisation (ou le cadre « comme si » en PNL) : on fait comme si on avait atteint son objectif et on est au présent dans cette situation : on voit, ressent, entend, sent, goûte l’objectif atteint.
– on ne se met pas en position de victime.
– on ne se positionne pas en tant que sauveur.
– d’une manière générale, agir plutôt que réagir.
– la métaphore éducative : apprendre à la personne à pêcher plutôt que de lui donner des poissons.
Concernant la souffrance, il y a la souffrance physique que j’ai connue (entre autres l’hyperréfexie autonome) et dont je ne sais pas si elle m’a été utile. Sauf de justement prendre conscience que je suis capable de la supporter, alors que j’ai entendu des gens hurler de douleur pour ce même mal.
La souffrance morale, ça m’est arrivé aussi, mais ça ne dure pas longtemps et je rebondis très rapidement, et au final, c’est moi qui console mes proches qui peuvent être touchés.
J’aimerais bien pouvoir « l’exploiter » à ce moment-là, mais peut-être suis-je trop positif ;-)
Le handicap, je ne vois pas ça vraiment comme une souffrance, c’est un état qui, quand il arrive, est un vrai traumatisme. Ensuite, on l’accepte ou pas. L’accepter et, quelque part l’ignorer, n’est que bénéfique.
En parlant de souffrance, Alfred de Musset disait : « l’enthousiasme est frère de la souffrance. »
Merci Maxime de décortiquer les processus que tu vis, ça apporte énormément au lecteur.
Je t’embrasse.
Auteur
Bonjour Jean,
Je suis vraiment heureux que cet article invité ait déclenché autant d’enthousiasme !
Merci d’enrichir de ton point de vue cet article qui y fait suite.
Je profite de cette réponse pour partager les 8 concepts que j’ai moi-même notés en préparant cet article :
1- Prendre la responsabilité de ses actes
2- Différence entre difficulté ou problème
Voir cet article : Comment résoudre un problème
3- La télécommande à changer les autres : pour me sentir mieux, je demande à l’autre de changer. Je lui donne le pouvoir d’avoir du pouvoir sur moi.
4- Le changement commence par changer soi-même
5- L’égoïsme, c’est voler à l’autre sa responsabilité
6- La libération par d’abord par l’effort, la contrainte ou la souffrance
7- Aider et sauver
8- Qu’est ce que c’est d’être humain ?
Comme tu peux le voir, toi et Iona, vous en avez noté d’autres !
Je trouve cela génial car cela montre qu’à partir d’une même vidéo, chacun va retenir ce qui correspond à sa propre expérience de vie !
La visualisation, c’est un aspect par exemple que j’ai complètement zappé.
Il se trouve que moi-même, j’ai énormément de difficulté à me projeter dans le futur avec une image mentale.
Quand je suis guidé dans une méditation, je ne ‘vois’ rien, c’est l’écran blanc, par contre, je ressens.
Une amie m’a dit en me challengeant : « tu peux le faire mais il y a une partie de toi qui ne veut pas le faire et qui prend comme excuse le ressenti pour rester dans sa zone de confort ».
Si tu pouvais m’aider sur ce point, je te serais vraiment reconnaissant.
Quel est ton point de vue ?
Le début de la formation de David est directement lié aux objectifs de Vie, à 5ans, à 3 ans, à 1 an.
J’ai écrit mes objectifs mais dès que je veux me visualiser en train de les réaliser ou trouver un prénom qui correspond à la partie de moi qui les a réalisé, c’est le blanc total dans ma tête.
Je t’avoue que je suis très mal à l’aise avec ça, je me pose cette question : »Comment puis-je créer ma réalité si je n’arrive pas à la visualiser ? »
Roger Lannoy est en train de faire un lancement orchestré pour sa formation « Devenez un Maître de l’Abondance ».
Dans la 2ème vidéo de lancement, il guide une visualisation.
Je la trouve super bien faite et pourtant, j’entends les mots et je sens simplement une faible résonance vibratoire au niveau corporel, une image très floue si je force au niveau du mental mais rien de plus.
J’ai donc compensé ce que je vis comme un handicap en me focalisant sur une seul chose : me sentir bien au quotidien, créer de l’énergie pour faire remonter la fréquence de mon corps en mettant mon corps dans l’action, faire du trampoline le matin avec mes afformations positives, etc..
En tant que coach spécialisé en PNL, accepterais-tu de me donner un coup de pouce par un échange de coaching, par exemple ?
Je trouve que ton partage sur la manière dont tu vis ton handicap et transforme la souffrance est également très riche.
C’est très inspirant pour moi, cela m’ouvre à d’autres points de vue et j’espère que cela va inspirer également les lecteurs :-)
Je t’embrasse.
Vis une merveilleuse journée.
Maxime
Bonjour Maxime,
Pour répondre concernant la « visualisation », il faut souligner que le terme est impropre puisqu’il s’agit d’imaginer (ce terme « imaginer » parle aussi de visuel) son objectif atteint et le vivre avec nos 5 sens (VAKOG) visuel, auditif, kinesthésique, olfactif, gustatif. Chacun d’entre nous a un canal sensoriel privilégié. Ce peut être le visuel pour la plupart (d’où le terme), mais pour toi par exemple, ce serait plutôt kinesthésique, puisque ce sont tes ressentis qui sont les plus importants. Et tu peux très bien « visualiser » ta future réalité par tes ressentis. Si tu arrives à ajouter un sens (ou plus), ce n’en est que mieux. Essaie avec l’auditif. Personnellement, c’est l’auditif qui fait souvent monté l’émotion. J’ai un souvenir d’un traumatisme subi dans l’enfance imprégné dans mon cerveau sous forme visuelle et auditive. La « madeleine » de Proust, c’est de l’olfactif. Etc…
Je suis très heureux que tu me proposes ce genre d’échange de « coaching ». Figure-toi que je pensais dernièrement à quelque chose comme ça entre nous, sans parvenir à le formaliser.
On pourrait faire ça par skype. On en reparle.
Je t’embrasse.
Lisez mon dernier article -> Personne n’est parfait
Auteur
Bonjour Jean,
Merci beaucoup Jean de ton explication et de ta suggestion de rajouter un sens pour faire monter l’émotion.
Visualiser sans émotion, cela ne sert à rien !
Tu ne vas rien attirer à toi, c’est imagination + émotion + passage à l’action qui créent la réalisation.
Tu me donnes une sacré clé.
Faire monter l’émotion, oui, c’est cela !
Quel est le trigger, le déclencheur de l’émotion ?
Rajouter l’auditif, cela me parle bien.
Je vais tester.
Le coaching par Skype, c’est OK pour moi, ça fait partie de mes offres, justement.
Je te contacte en privé pour un 1er rdv !
Merci encore pour tes éclairages, ils sont très inspirants pour moi et j’espère qu’ils seront inspirants pour nos lecteurs :-)
Je t’embrasse.
Vis une merveilleuse journée.
Maxime