Envie d’abandonner

Abandonner un projetVous est-il souvent arrivé d’avoir envie d’abandonner ?

Cette semaine, mon intention était de vous offrir un article sur Le don du pardon, suite à ma participation le week-end dernier aux 2 séminaires qu’Olivier Clerc a organisé à Nantes, le premier consacré au l’utilisation du Coffret le Jeu des Accords Toltèques et le second à l’animation de Cercles de Pardon.

3 évènements sont venus bouleverser mes projets, comme souvent dans la vie quotidienne.

Les 3 évènements du jour

Le 1er : Je parle avec mon ami Paul au téléphone et nous échangeons sur le thème de l’abandon.
Abandonner sur le chemin de son but, par exemple.
Paul m’envoie ensuite un texte que je vais vous partager car il est chargé pour moi d’une grande symbolique.

Le 2nd : je reçois un SMS de mon fils Jérémy qui me dit en parlant de son épouse:
« Didi a fait une fausse couche cette nuit.
On va bien car c’était un « œuf clair », il n’y avait pas d’embryon donc pas de bébé dans le ventre ».

Le 3ème : un commentaire échangé avec Nicole du Blog Éveil Art et Nature dans le cadre de mon précédent article sur le doute.

Question : Les enfants ont -ils le droit de faire des erreurs ?

Ces 3 évènements, qui peuvent sembler à priori n’avoir aucun lien entre eux me font TILT !
Ils ont en toile de fond tous les 3 un point commun : celui de l’abandon.

L’abandon, le point commun

Prenons les dans l’ordre :

Abandonner un projet

Voici le texte du mail reçu de Paul suite à notre échange téléphonique :

Abandon ou Détermination

Abandon ou Détermination

Et vous voudriez abandonner ?

3 fois, Steven Spielberg a été recalé à ses études de cinéma.
5 maisons d’édition ont refusé de publier Harry Potter.
26 ont refusé à Tim Ferris sa « semaine de 4 heures« .
301 banques ont rit au nez de Walt Disney et de son idée de parc à thème.
1000 façons ont permis à Edison de « ne pas » faire une ampoule avant de trouver comment en faire une.
2000 tentatives sont nécessaires à un bébé pour réussir ses premiers pas.
5126 prototypes ont permis à James Dyson de créer l’aspirateur sans sac.

On a tous des moments de découragement et lorsque l’on voit d’éclatantes réussites, on a toujours tendance à omettre les difficultés que les personnes ont pu avoir avant d’en arriver là. On peut douter, avoir des coups de mou, mais il faut repartir, pratiquer, avancer, encore et toujours… !

L’illustration ci-dessus n’est-elle pas symbolique ?
Quel est des 2 personnages celui qui vous inspire le plus ?
Celui du haut ou celui du bas ?
Moi, j’ai fait mon choix !
Et vous, quel est votre choix ?

Abandonner un désir d’enfant

Désir d'enfant

Désir d’enfant

A titre personnel, je suis particulièrement touché par le thème de la fausse couche.
J’ai eu l’occasion au cours de mes différentes formations en lien avec la qualité relationnelle d’échanger avec beaucoup de femmes qui avaient fait une fausse couche.
Une femme m’a particulièrement touché.
Si ma mémoire est bonne, elle a du faire 5 fausses couches avant d’avoir son 1er enfant !
A-t-elle abandonné son désir d’enfant ?
Non !
A chaque fausse couche, elle puisait dans cet évènement une force supplémentaire pour faire grandir son désir en elle.
Son désir de donner la Vie était devenu si grand, si puissant en elle qu’elle a persisté encore et encore jusqu’à la Vie lui dise : OK, c’est maintenant, tu es prête !
Et elle a accouché d’un magnifique garçon.
C’est comme si les « échecs » des fausses couches précédentes avaient été nécessaires pour nourrir la graine de cette future relation Mère-fils.

Hier soir, je parlais au téléphone avec Nolwen, ma fille de 20 ans qui me posait la question :
« ça te fait quoi, Papa, de savoir que tu vas être grand-père ?« 
J’étais étonné du peu de réaction émotionnelle que sa question a provoqué en moi, ce qui a surpris ma fille et moi-même également.
Moi qui suis très sensible à la relation Parent-Enfant, j’avais du mal à donner du sens à ce comportement.
Comme si une partie de moi, en lien inconscient avec Didi, « savait » qu’elle ne portait pas encore d’âme dans son ventre.

J’ai Foi en la Vie et j’ai l’intime conviction que Didi portera un enfant à terme quand ce sera bon pour elle et pour Jérémy, pour leur relation de couple ou de futurs parents. A eux de faire le choix de ne pas abandonner ce désir d’enfant à la 1ère difficulté, au 1er écueil sur le chemin.
J’ai confiance dans cette capacité qu’ils ont ensemble à construire leur couple et leur vie future de parents dans la durée.

Abandonner à la 1ère erreur commise

Maxime à 4 ans

Maxime à 4 ans

Notre éducation (en tout cas la mienne) nous a conditionné pour avoir peur de l’échec.
Et à force d’être critiqué, jugé sur le résultat et non sur la progression, nous arrivons à douter de nos capacités à réussir et à persister dans nos entreprises.

Je reprends ici 2 extraits  de commentaires :

  • Celui de Nicole :Je travaille souvent avec les petits enfants et je suis toujours interpellée quand je vois que dès l’âge de six ans, des enfants n’osent pas, car ils doutent de leurs capacités à y arriver et ne commencent pas leur dessin! Adultes et enfants voudraient être maîtres en apprenant!
  • Celui de Philippe :
    L’enseignement est dispensé par des personnes qui passent leur vie à l’école, de la maternelle le primaire le collège le lycée la fac, puis un poste d’enseignement. Ils ne peuvent que perpétuer ce qu’ils ont eux mêmes vécus. Mon petit neveu de 6 ans à eu des points en moins car il avait démarré son exercice avant que la maitresse donne le feu vert. Quand tu es entrepreneur, tu ne peux pas attendre le signal!

Voici ce que j’ai répondu au commentaire de Nicole :
De mon point de vue, il y a une racine derrière tout cela, celle de l’éducation des parents qui retranscrivent avec leurs enfants le même type d’éducation qu’ils ont reçue, basée sur la peur, le manque et la focalisation sur le résultat (la fameuse note qui va dire si j’ai « bon » ou pas).
La source de la Vie est faite d’abondance, d’empathie, de compréhension, de chaleur du cœur, d’une focalisation sur le bonheur du chemin et non sur la destination.
Je rêve d’un monde qui soit focalisé sur la progression, sur le progrès et où l’échec sera magnifié car l’échec contient en lui la graine d’un succès futur.

Soyons un exemple pour les autres

Heureusement, une médaille comporte 2 faces.
Et si nous nous polarisions sur le côté positif de la médaille et décidions d’être un exemple pour nos enfants en apprenant le langage du cœur, de l’espoir et de l’amour, celui de la Vie ?
C’est facile à faire !
Regardez comment cet homme, soutenu par son père a réussi grâce à sa détermination et la force de Vie qui est en lui à faire lever 65000 personnes dans un stade :

La course de Derek Redmond

 

La question du jour

J’aimerai maintenant que vous vous exprimiez en répondant à ces 2 questions dans la zone commentaire ci-dessous :

  • Vous est-il arrivé dans votre vie d’avoir eu envie d’abandonner ?
  • Si oui, comment avez-vous réagi et quelle leçon en avez-vous tiré ?

Même dans le choix d’abandonner, il y a un bénéfice caché :-)

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58 Commentaires

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  1. Coucou
    J’ai souvent abandonné par peur de ne pas savoir faire.
    Par contre, lorsque je suis motivée, il n’y a pas grand chose qui peut m’arrêter et je ne compte pas les années. C’est ainsi que, par persévérance, j’ai fini par faire imprimer mon premier livre papier!
    Lisez mon dernier article -> Pourquoi je reçois des mails de gens qui se plaignent que Ho’oponopono ne fonctionne pas ?My Profile

    1. Re coucou Hannah,
      La peur de ne pas savoir faire, je connais aussi :-)
      Afin de la dépasser, depuis booster gala, je me suis fixé comme objectif de faire une nouvelle chose inconnue pour moi chaque semaine.
      Cette semaine, j’y vais fort !
      > Apprendre comment faire un sondage.
      > Utiliser Google Drive (suite à un échange avec Guillaume Leroy de http://www.dopeurdevie.com)
      > Mon inscription au programme de Mastermind de Biba Pedron pour un coaching de 6 mois et approcher le marché US.
      Quant à la persévérance, c’est ma copine, tout comme la constance ;-)

      Vis une merveilleuse soirée.
      Maxime

  2. Bonsoir Maxime,
    Vous est il arrivé d’avoir envie d’abandonner ?
    Oui, tout de suite oui.
    Quelque chose dans ma direction, ou mon attitude n’est pas juste et me fait douter de tout.
    Est ce que le mlm est pour moi ?
    Est ce que malgré les bons produits chez Stemtech je suis à ma place, car j’ai le sentiment qu’en parlant de nouveau de fibromyalgie, de « maladie » je retourne dans cet égrégore sans réussir à m’en détacher.
    C’était comme si je n’arrivais à prendre du recul et prenais tout de plein fouet.
    Oui j’ai envie de tout lâcher.
    Prendre mon sac à dos et salut à tous !
    Et à la fois je ne peux le faire car la fuite n’est pas une solution.
    Prendre du recul.
    M’alléger au maximum pour récupérer cette fuite d’énergie, en attendant la résolution finale.
    Arrêter de me prendre au sérieux, si cela ne correspond pas à ce que je souhaitais etc etc.
    Et la réponse est déjà là, apprendre à me dissocier du passé, de la maladie.
    Arrêter de prendre tout à coeur à l’excès.
    Tout est là justement pour que je passe ce cap.
    Initiation tu portes en toi le chemin…alors j’accepte de ne pas savoir comment faire tout de suite et les réponses viendront au fil des jours.
    L’humilité d’accepter de ne pas savoir.
    l’humilité d’accepter de laisser ce chemin s’ouvrir et qu’une instance plus haute soit mon baton de pellerin.
    Je n’ai que cela à faire ! C’est ma leçon actuelle.
    Bonne et douce soirée à tous.
    Agnès
    Lisez mon dernier article -> Un produit naturel qui a fait ses preuves !My Profile

    1. Bonsoir Agnès,
      Je suis très touché par ton commentaire et ton authenticité à exprimer ce que tu vis en ce moment.
      Ce que je peux te partager par expérience, c’est que les moments de doute précèdent souvent un renouveau.
      Regarde l’image de l’article !
      Au fur et à mesure que la personne du bas avance, elle se met à douter de plus en plus fort.
      Et le doute va devenir tellement intense qu’elle va finir par abandonner à un coup de pioche de la délivrance, de son but.
      Pour moi, c’est la vie qui est en train de te tester dans ta détermination.
      Ayant pris conscience de cela, pour ma part, quand je me mets à douter maintenant, je me dis :
      « Yes, génial! Je ne sais pas ce qui m’attend dans les heures où les jours qui viennent, mais ça va être sacrément fort comme cadeau ! »
      Alors, je me sers de l’intensité du doute pour la mettre au service de mon projet.

      En langage Transurfing, le doute correspond à l’expression des balanciers qui viennent te tester sur le chemin de ton but.
      Rappelles-toi les 7 étapes vers le But du module 1 :
      > La 6ème, c’est l’installation des nouvelles base => États : Jeu, Légèreté, Incertitude
      Extrait de mes notes : Les changements commencent à se produire. Les nouvelles base apportent une nouvelle perception du monde et de la réalité.
      Mais à cette étape, vous pouvez être fragilisé par les attaques des balanciers qui peuvent se produire, et qui vont essayer de vous éloigner de vos lignes de vie favorables et de votre but.
      > La 7ème, c’est la réalisation => États: Gratitude, Détachement
      Extrait de mes notes : Je reste sur la vague de succès. Mes rêves se réalisent. J’écoute mes sensations et mon âme car c’est le début d’autre chose.
      L’intention externe se manifeste encore + si je reste observateur de mon ressenti, sans lui donner d’importance.

      Tu te souviens ?
      Je trouve que ces notes expriment bien l’expérience que tu es en train de vivre ;-)

      Qu’en penses-tu, ma chère Agnès ?
      Quelle position choisis-tu d’adopter?

      Vis une merveilleuse soirée.
      Maxime

  3. Bonjour Maxime,

    Les deux questions que tu poses sont très intéressantes.

    Une troisième me vient également à l’esprit :

    Où se trouve la frontière entre la persévérance et l’acharnement ?

    Je ne sais pas si tu connais l’histoire du colonel Sanders, le créateur de la chaîne de fast-food KFC.

    On lui a dit non 1009 fois avant d’accepter sa fameuse recette de poulet frit.
    Pour ensuite se retrouver à la tête d’un empire de 400 restaurants en franchise à la fin des années 50.
    Il devint multimillionnaire à presque 70 ans.

    La leçon à en tirer ? Un échec est juste de passage.
    Le germe de la réussite se trouve dedans, tout dépend ensuite de la façon dont on le perçoit.
    Lisez mon dernier article -> La voie du TaoMy Profile

    1. Bonjour Jean-Charles,
      Bienvenue et merci pour ton 1er commentaire.
      Ta question est vraiment intéressante.
      Merci à toi de la poser.
      Oui, je connais l’histoire du colonel Sanders.
      Elle est reprise dans un de mes livres de chevet.
      Un de mes formateurs au marketing relationnel m’a dit au cours d’une formation :
      « Maxime, à chaque fois que tu obtiens un non, c’est que tu te rapproches du oui, sois donc heureux car plus tu obtiendras de « non », plus tu vas te rapprocher du oui »
      Et j’ai envie de rajouter : plus le nombre de « non » va être important, plus la réussite va être époustouflante.
      L’image qui me vient, c’est l’avion qui bloque ses freins au décollage pour obtenir le plus de vitesse dans le moindre de temps.
      Plus le nombre de « non » sera important, plus le décollage vers la réussite sera rapide :-)
      Vive les « non » !!
      Et si un non est vécu comme un échec, Vive les échecs !

      Comme tu le dis si bien, tout n’est qu’une question de perception.

      Vis une merveilleuse soirée.
      Maxime

      1. Le « non » me fait penser à un tour de magie.

        Tu montres un bout de papier à ton interlocuteur en lui demandant :
        Sais-tu ce qu’il y a inscrit derrière ?

        Il te répond non !

        Tu le retournes où il y a déjà écrit « non » :)
        Lisez mon dernier article -> La voie du TaoMy Profile

        1. Bonjour Jean-Charles,
          Superbe, ton histoire !
          J’adore !
          C’est toute la magie de l’art du questionnement, non ? ;-)

          Vis une merveilleuse journée.
          Maxime

  4. Bonjour Maxime

    Merci pour ce très bel article

    Abandonner est un mot que je déteste
    Je n’abandonne jamais ; je m’accroche ; plus je rencontre de difficultés , plus je m’accroche
    C’est bizarre mais j’ai ‘impression que c’est ce qui me fait avancer ; quand tout va bien , je me laisse vivre et c’est très mauvais pour mes performances

    Très bonne journée
    Lisez mon dernier article -> cellulite : existe t-il un traitement efficace ?My Profile

    1. Bonjour Janine,
      Merci de ton appréciation pour l’article.
      Chaque appréciation que je lis me donne un coup de Boost pour l’article suivant !

      Je n’abandonne jamais ; je m’accroche ; plus je rencontre de difficultés , plus je m’accroche
      Je peux me tromper mais en langage Transurfing, ce que tu décris correspond à une belle attitude de « guerrier ».
      Le guerrier avance vers son but mais au prix d’une dépense énergétique considérable à vouloir vaincre tous les obstacles qui se dressent sur son chemin.
      D’où cette question : Comment te sens-tu au niveau énergétique ? En forme, fatiguée à force de lutter ?
      Derrière cette attitude, il y a souvent une croyance profonde et inconsciente ancrée que j’entrevois à travers « quand tout va bien , je me laisse vivre et c’est très mauvais pour mes performances »
      D’où cette 2ème question : Qu’est ce qu’il te faudrait contacter comme ressources en toi ou comme nouvelle croyance pour que tout aille bien et qu’en même temps, ce soit excellent pour tes performances ?

      Vis une merveilleuse journée.
      Maxime

  5. Bonjour Maxime,
    Il m’est souvent arrivé d’abandonner par peur
    que ça ne fonctionne pas.
    Par contre, lorsque j’ai un véritable élan pour
    quelque chose d’essentiel dans ma vie, je ne
    débranche pas tant que je ne suis pas venue
    à bout de mes ressources.
    C’est ce que j’ai fait pour mon livre et le résultat
    c’est le mois prochain!
    Lisez mon dernier article -> Projet sens et biologie totale: quelle influence ont vos ancêtres sur votre vie?My Profile

  6. Bonjour Hannah,
    Ma réponse va être brève cette fois ci !
    YES !!!!!!

    Vis une merveilleuse soirée.
    Maxime
    PS: cet article doit te plaire.
    C’est ton 3ème commentaire sur le même sujet :-)

  7. Bonjour Maxime,

    Je decouvre ton blog et je reviendrai.

    Un echec n’est reconnu en tant que tel que lorsque que l’on abandonne définitivement toute forme de vie.
    Cependant un abandon n’est pas négatif car il porte en lui le germe de la réussite.
    En effet si l’on accepte que à chaque fois que nous essayons de faire quelque chose, deux options sont possible, réussir ou échouer et si l’on reconnais dans l’echec un message qui dit ; ce n’est pas comme cela.
    Alors l’echec n’existe pas, le fait d’abandonner temporairement peut être salutaire car s’obtiner dans une direction sans se remettre en question n’est pas une solution.
    Celui qui va au bout de lui même accepte de se tromper et de recommencer jusqu’a ce qu’il trouve, l’abandon total revient à dire que jamais nous ne pourrons construire quoi que ce soit dans sa vie, ce qui n’existe pas.
    L’abandon n’existe pas, il est simplement le fait de changer de voie.
    Lisez mon dernier article -> loi de l attraction, l’élaboration des plansMy Profile

    1. Bonjour Enzo,
      Bienvenue et merci pour ton 1er commentaire.
      Merci également de nous partager ton point de vue qui vient enrichir cet article, celle de l’abandon qui nous conduit à changer de voie.
      J’ai envie de rajouter qu’il y a une forme d’abandon qui est salutaire, c’est celle du lâcher prise, celle de l’abandon du contrôle que l’on souhaite avoir sur soi-même, sur les autres, les évènements ou l’environnement.
      Une de mes ressources est de m’abandonner à cette puissance de la vie, cette partie divine qui est en moi et qui SAIT, bien au-delà de mon mental conscient.

      Vis une merveilleuse journée.
      Maxime

  8. Bonjour Maxime…

    Je viens de découvrir ton site et m’y suis arrêtée et même inscrite car d’un coup d’oeil j’ai pu voir des articles qui peuvent correspondre à certaines de mes problématiques.

    Le doute…oui…je suis en plein dedans…j’ai failli abandonner il y a quelques temps et puis, je me suis dit que je n’avais pas tout fait pour réussir mon projet…

    Un peu à l’image de ton article , je me suis dit qu’il fallait peut être juste un déclic pour abattre le dernier pan de mur et pourvoir enfin apprécier d’avoir atteint mon objectif !

    Alors , dans les moments de doute, je me demande si j’ai vraiment tout fait pour y arriver
    ou comment faire autrement , différemment ?

    A bientôt
    Karine
    Lisez mon dernier article -> Comment le bien-être au travail s’invite t-il chez les autres ?My Profile

    1. Re-Bonjour Karine,
      Merci de ton inscription et heureux que tu rejoignes la liste de mes abonnés.
      Concernant le doute, je comprends ce que tu peux vivre.
      Je suis moi-même quelqu’un qui doute beaucoup.
      Aujourd’hui, j’apprends à en tirer une force.
      Comment faire autrement, différemment ?
      Si je doute, cela signifie pour moi que j’ai comme projet de ne pas réussir, puisque je me focalise sur un échec éventuel, sur ce que je ne veux pas.
      Faisant cette prise de conscience, par contraste, cela m’aide à re-focaliser sur mon projet de réussite.
      Et je me sers de l’intensité du doute pour la mettre au service de mon projet.
      Alors, merci le doute !

      Vis une merveilleuse fin de WE.
      Maxime
      PS: Dans mon projet, ce qui compte pour moi, ce n’est pas d’y arriver, c’est le plaisir du chemin pris pour y arriver.
      Aboutir, c’est la cerise sur le gâteau, après le plaisir du dernier coup de pioche pour abattre le dernier pan de mur (qui est en toi, soit dit en passant !).

  9. Tu me dis :  »le dernier pan de mur (qui est en toi, soit dit en passant
    !) »
    Bien vu !!

    Lors d’une pratique de rêve éveillé je m’étais vu en forteresse de carcassonne… belle image mais des pans de mur trop solides nous empêche voir au delà !

    Le driver qui m’anime, me propulse mais aussi me dessert parfois : c’est , sois forte !

    C’était donc difficile alors d’accepter mes faiblesses dans un 1er temps…
    mais chemin faisant la forteresse de Carcassonne commence à ouvrir ses portes.

    Au plaisir de continuer à discuter avec toi lors de tes futurs articles.

    Karine

    ps: je viens de voir 54 commentaires pour cet article ! waouh !! Ca pousse bien à persévérer !! Félicitation.
    Lisez mon dernier article -> Comment le bien-être au travail s’invite t-il chez les autres ?My Profile

  10. Re-Bonjour Karine,
    Super, ton partage !
    Merci!
    je viens d’aller sur ton site et j’ai adoré ce que j’ai découvert !
    Oui, le driver « soit forte » te propulse et te dessert parfois.
    J’ai failli faire l’UTC Compiègne après mon DUT, j’ai été rebouté parce que je n’avais pas le niveau, malgré la motivation que j’affichais.
    De mon point de vue, une telle demande à la base ne peut que générer ce type d’attitude.
    Pour la petite histoire, 1 mois après ma « défaite » de Compiègne, j’ai appris que l’ENSM de Nantes lançait sa 1ère formation par correspondance pour intégrer le cursus d’ingénieur en 2ème année.
    Je me suis précipité dans la « brèche » et au bout de 4 ans (2 ans en cours par correspondance + 2 ans à l’école), je ressortais « victorieux » mon diplôme d’ingénieur dans la main.
    Aujourd’hui, j’apprends grâce à Transurfing qu’être « guerrier » me dessert au niveau énergétique et dans l’avancement de mes projets.
    J’apprends également que ce que les autres appellent mes « faiblesses », ce sont au contraire des sources de puissance intérieure énormes.
    Oui, cet article a suscité de nombreux commentaires.
    Le plus étonnant, c’est qu’il n’a pas du tout été préparé à l’avance, que c’est un article écrit dans l’instant présent, sans aucune pression, sans attente de résultat, et regarde ce qu’il suscite comme réaction.
    C’est magique !
    Merci encore de ton partage.
    A bientôt .
    Maxime

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